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🏭 Innover pour adapter les activités industrielles et artisanales ainsi que les réseaux

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Plus de 140 commerces et entreprises ont été impactés directement ou indirectement par les inondations successives de l’hiver 2023-2024, correspondant à plus de 3 300 salariés.

La réaction à court terme des entreprises, des commerces et des artisans pour développer leur résilience est d’adapter leurs outils de production, leurs locaux, leurs produits ou leurs services afin de réduire au maximum les conséquences sur leurs activités et leurs équipements, ou les pertes d’exploitation (dont les baisses de valeur des actifs) dues aux événements climatiques extrêmes.

A long terme, la question de la transformation des modes de production va se poser. Celle-ci est essentielle pour réduire les émissions de CO2 et la dépendance aux énergies fossiles et pour limiter leur impact environnemental en développant l’écoconception des produits, des procédés et des services.

Par exemple, le déploiement de synergies industrielles locales, le développement des économies circulaires, la recherche de sobriété en ressources (eau, air, sol, énergie, biodiversité) et enfin l’association des salariés à ces nouvelles formes de culture d’entreprise constitue sans doute des éléments d'un paradigme.

Pour le secteur du commerce, l’optimisation de la chaîne logistique et des pratiques d’emballage et de colisage, la modification des pratiques d’achats responsables et la rénovation énergétique des bâtiments vont s’avérer essentielles pour préparer la traversée des crises futures, notamment climatiques.

Pour les réseaux (énergie, télécommunication, eau…), au-delà de la reconstruction post crise, leur adaptation au changement climatique nécessite de réduire dans le temps la vulnérabilité des services de mobilité, de consolider les réseaux d’eau (potable, pluvial et usées – inondation et sécheresse) ainsi que les réseaux énergétiques et numériques. L’interdépendance entre ces réseaux (effet domino) est également à prendre en considération : par exemple, une atteinte sur le réseau électrique peut perturber le fonctionnement d’autres réseaux fonctionnant avec l’électricité tel que les télécommunications, etc. Chez tous les acteurs économiques, l’intégration de la culture du risque extrême dans la culture d’entreprise (quelle que soit sa taille et sa nature) constituera une action essentielle pour assurer un futur solide au territoire.

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